• Salvator Dali





    Salvador Dali

    (1904 -1989)

    peintre controversé, que j'aime pour la folie et la beauté de ses oeuvres
    pour moi ilest tout simplement un genie
    et je sais que j'irais voir son musée à Figueras un de ses jours.

    Salvador Domingo Felipe Jacinto Dalí Domenech, connu sous le nom de Salvador Dalí,  était un peintre surréaliste. Il est né et mort à Figueras en Catalogne (Espagne)  où il créa d'ailleurs son propre musée en 1974, le Teatre- Museu Gala Salvador Dali.<o:p></o:p>

    La région de son enfance, <st1:personname productid="la Catalogne" w:st="on">la Catalogne</st1:personname>, aura toujours une place privilégiée dans son œuvre comme dans sa vie. Son père Don Felipe Domenech (Salvador Dali y Cusi y Felipe Domenech), était un homme autoritaire et aurait été responsable de la mort du frère aîné de Dalí appelé Salvador, né en 1901 et décédé deux années plus tard.<o:p></o:p>

    À sept ans, il peint son premier tableau et veut être Napoléon. En 1918, après un bac obtenu facilement, Dalí entre à l'École des Beaux-Arts de San Fernando, à Madrid. Il se lie d'amitié avec Federico García Lorca et Luis Buñuel mais l'enseignement le déçoit et il se fait expulser pour avoir incité les étudiants à manifester contre l'incompétence d'un nouveau professeur.<o:p></o:p>

    En 1926, il fait un premier voyage à Paris et y rencontre Pablo Picasso. Trois ans plus tard, il retourne dans la capitale française, en compagnie de Buñuel, pour le tournage d'Un chien andalou. C'est la rencontre décisive avec les surréalistes : Tristan Tzara, Louis Aragon, André Breton, Paul Eluard... et sa femme, Gala. L'apparition de celle-ci est une révélation : il l'a rêvée et peinte avant de la connaître ; ils ne se quitteront plus.<o:p></o:p>

    En 1932, Dalí participe à la première exposition surréaliste aux États-Unis et obtient un succès triomphal. Il accumule les idées et Gala essaie de vendre ses inventions souvent jugées trop folles. C'est le début de la méthode paranoïaque critique qui veut crétiniser le monde, comme Alfred Jarry voulait le décerveler. Aux récits de rêves et à l'écriture automatique des surréalistes, Dalí ajoute l'objet irrationnel à fonctionnement symbolique. Cependant, à l'issue d'une réunion mémorable, il se fait exclure du mouvement par André Breton qui lui reproche ses actes contre-révolutionnaires. De 1939 à 1948, il s'exile à New York et ses toiles témoignent de ses découvertes du nouveau continent (Poésie d'Amérique, par exemple).<o:p></o:p>

    « Pour pénétrer dans la réalité, j'ai l'intuition géniale que je dispose d'une arme extraordinaire : le mysticisme, c'est-à-dire l'intuition profonde de ce qui est, la communication immédiate avec le tout, la vision absolue par la grâce de la vérité, par la grâce divine. » <o:p></o:p>

    Cette profession de mysticisme, Dalí va l'appliquer jusqu'à la fin de sa vie aux œuvres qu'il lui reste à créer. Le gigantisme atteint ses dernières toiles, grouillantes de personnages dionysiaques, où il réunit toutes les tendances en -isme : pointillisme, surréalisme, tachisme...<o:p></o:p>

    Dalí s'intéressa aussi à bien d'autres arts, et fut en particulier fasciné par le cinéma, la photographie, la mode ou la publicité. En outre, il était passionné par les sciences, notamment par la théorie de la relativité d'Albert Einstein qu'il a représentée à sa façon dans les célèbres « montres molles » de son tableau Persistance de la mémoire.<o:p></o:p>

    Selon le couple Lacroix, en 1980, Salvador Dalí aurait semble-t-il été victime d'une dépression nerveuse et ses proches vont commencer à régenter les visites que le maître reçoit.<o:p></o:p>

    Gala meurt en 1982 ; la même année, Dalí est fait marquis de Pubol où il vit dans le château qu'il a offert à sa femme. En mai 1983, il peint son dernier tableau, La queue d'aronde. En 1984, il est très gravement brûlé lors de l'incendie de sa chambre, au château de Pubol. Il meurt le 23 janvier 1989 d'une défaillance cardiaque. Conformément à sa volonté, il se fera embaumer puis exposer dans son "Teatre-Museu", où il repose désormais. Une simple pierre indique le lieu de sa sépulture. Par testament, il lègue l'ensemble de ses biens et de son œuvre à l'État espagnol.



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    Il a aussi crée des flacons de parfum, ici un petit assortiment


                

                 


    sources :   Wiképedia

    miniature de parfums


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